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biosurveillance de la qualité de l'air

Vous représentez un site industriel, une exploitation agricole ou une collectivité?

En fonction de vos objectifs, des caractéristiques de la zone d'étude et des résultats attendus, Efikos peut mobiliser différents outils de biosurveillance de la qualité de l'air. Chaque méthode diffère selon son champ d'application, sa sensibilité face à différents polluants et sa pertinence en fonction du but scientifique recherché.

Biosurveillance par l'abeille
Biosurveillance par les lichens
Biosurveillance par les mousses
Les abeilles

La sensibilité des abeilles peut être utilisée afin de mesurer la qualité de l'air dans lequel elles évoluent.

En raison de ses activités quotidiennes qui la mettent en contact avec un grand nombre de polluants sur une surface d'exposition très importante (prélèvements sur une surface de 27km² autour de la ruche dans les matrices eau, air et sol), l'abeille constitue un indicateur fiable de la qualité de l'air et plus largement de la qualité de l’environnement. 

Les lichens

Les lichens sont utilisés depuis plusieurs décennies pour évaluer la qualité de l'air.

Les lichens ne possédant pas de cuticules de protection ni de système racinaire, ils sont entièrement dépendants de l'atmosphère. Ces caractéristiques biologiques en font de merveilleux témoins de la pollution atmosphérique.

Les mousses

A l'image des lichens, les mousses ne disposent pas de cuticule ni de système racinaire, elles  bioaccumulent les polluants organiques et les métaux évoluant dans l'atmosphère.

Cette dépendance aux dépôts atmosphériques secs et humides  fait également des mousses de bons témoins de la qualité de l'air. 

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